rayenshow

tous se trouve a rayenshow

posté le 30-04-2009 à 14:29:11

le cinema

Le cinéma est une technique permettant de créer l’illusion du mouvement grâce à la projection d’images fixes (des photographies) à un rythme suffisamment rapide pour qu’elles deviennent animées. Le cinéma désigne également l’art de réaliser des films, qui sont des histoires, réelles ou imaginaires : c’est le 7e art.

Le cinéma est né à la fin du xixe siècle. Au xxe siècle, il est devenu l’une des formes les plus populaires de la culture. Son évolution est marquée par des inventions et des révolutions qui ont bouleversé le fonctionnement et la diffusion du cinéma auprès du grand public.

DE LA PHOTOGRAPHIE AU CINÉMA

Au xixe siècle, plusieurs inventeurs mettent au point les techniques qui vont permettre au cinéma de voir le jour.

Le Français Nicéphore Niépce obtient la première photographie en 1826-1827. Son compatriote Jacques Daguerre invente le premier procédé de photographie fiable en 1837.

Les images animées apparaissent ensuite avec l’Américain Eadweard Muybridge, qui décompose le galop d’un cheval en photos successives en 1878. Thomas Edison (également américain) invente le Kinétoscope en 1888 : c’est le premier appareil de lecture et de projection de ces images animées.

LA NAISSANCE OFFICIELLE DU CINÉMA

Le véritable passage de la photographie au cinéma est possible grâce à l’invention du Cinématographe par les frères Auguste et Louis Lumière en 1895. L’appareil sert à la fois à la prise de vues, c’est-à-dire à l’enregistrement d’une longue série d’images photographiques, et à leur projection au rythme de 16 images par seconde, ce qui permet d’en donner une vision continue.

La date de naissance officielle du cinéma est le 28 décembre 1895. Pour la première fois, des images animées sont montrées dans un but de divertissement : la Sortie des usines Lumière, projeté à cette occasion, est donc considéré comme le premier film de cinéma.

À QUOI RESSEMBLENT LES PREMIERS FILMS ?

Les premiers films de cinéma sont très courts (ils durent environ une minute), muets et en noir et blanc. Ils montrent des scènes de la vie quotidienne.

Les frères Lumière organisent des projections payantes de leurs premiers films : l’Arrivée du train en gare de La Ciotat (les spectateurs sont tellement effrayés par ce train qui semble foncer droit sur eux que certains s’enfuient), l’Arroseur arrosé ou encore le Repas de bébé. Ils présentent ensuite au public des images du monde entier rapportées par des opérateurs ; ce sont les premiers documentaires.

Le réalisateur français Georges Méliès donne au cinéma une nouvelle dimension : il écrit pour ses films de vraies histoires (des scénarios), développe des techniques de mise en scène et d’effets spéciaux et devient le premier réalisateur de fictions (le Voyage dans la Lune, 1902).

« L’ÂGE D’OR » DU CINÉMA MUET ?

Hollywood, un village situé près de Los Angeles (en Californie, aux États-Unis) devient dès le début du xxe siècle la capitale du cinéma mondial. Les studios (les compagnies qui produisent et réalisent des films) s’y installent à partir de 1909.

À partir de 1915, on accorde de plus en plus d’importance à l’histoire que racontent les films. Ils durent plus longtemps (les longs métrages, ou films longs, remplacent les courts métrages), ils sont interprétés par des acteurs professionnels, les décors sont soignés et on y ajoute de la musique.

Pendant les années 1920, les comédies américaines de Charlie Chaplin, Buster Keaton, Harold Lloyd ou Laurel et Hardy triomphent sur les écrans du monde entier.

L’« âge d’or » du cinéma muet prend fin avec l’arrivée du cinéma parlant.

DEUX INNOVATIONS MAJEURES : LE PARLANT ET LA COULEUR 

Le Chanteur de jazz (réalisé par l’Américain Alan Crosland en 1927) est le premier film parlant. Il s’agit d’une révolution dans l’histoire du cinéma.

Le parlant donne naissance à de nouveaux genres, tels que les films d’action et les films comiques basés sur la parole (comme ceux des Marx Brothers). Les comédies musicales apparaissent dans les années 1930.

Le parlant permet également l’arrivée de nouveaux réalisateurs venus du théâtre et donc plus habitués aux dialogues. En revanche, de nombreux acteurs ne parviennent pas à s’adapter à cette nouvelle technique et voient leur carrière s’achever à ce moment-là.

Les premiers films en couleur sont colorisés : on peint directement sur la pellicule, image par image. Puis, en 1934, les ingénieurs de la société américaine Technicolor parviennent à mettre au point un procédé qui permet la réalisation de films en couleurs.

LA MATURITÉ DU CINÉMA

Quarante ans après sa naissance, le cinéma est donc sonore, parlant et en couleurs. Les films peuvent restituer fidèlement la réalité, mais ils sont également capables de donner vie au rêve. Tout est désormais possible, et les genres se multiplient : drame, comédie, western, policier, fantastique, science-fiction, etc. Le cinéma n’est plus seulement le septième art, il devient une industrie qui se développe avec la société des loisirs. « L’usine à rêve » hollywoodienne tourne à plein régime et se spécialise dans les films de divertissement à gros budget, tandis que dans le reste du monde se développent d’autres formes de cinéma.

LA TROISIÈME RÉVOLUTION DU CINÉMA : LE NUMÉRIQUE

À la fin du xxe siècle, le cinéma connaît sa troisième révolution après le parlant et la couleur : le numérique. Une image numérique n’est pas une image réelle fixée sur du papier (ou sur une pellicule). Elle est codée sous forme de chiffres (0 et 1) comme toute information traitée par un ordinateur. Il s’agit donc d’une image virtuelle.

Les films réalisés avec des caméras numériques (dites caméras DV) présentent l’avantage d’être moins chers (pas de pellicule, équipe de tournage réduite, montage simplifié, etc.) et permettent un nouveau mode d’expression cinématographique, plus direct et plus spontané. De plus, les images virtuelles créées par ordinateur autorisent tous les trucages, tous les effets spéciaux.

Grâce à cette nouvelle technologie, les idées les plus folles des réalisateurs prennent vie : l’insertion d’images de synthèse dans des images réelles (Qui veut la peau de Roger Rabbit ? en 1988 ou la trilogie Matrix de 1999 à 2003) ou la réalisation de films exclusivement avec des images de synthèse (Toy Story en 1995, Shrek en 2001, l’Âge de glace en 2002, le Monde de Nemo en 2003, etc.).

Les salles de cinéma constituent le principal lieu d’exploitation des films. Toutefois, depuis l’arrivée des cassettes vidéos au milieu des années 1970, puis des DVD environ vingt ans plus tard, le cinéma se regarde également à la maison. Ces supports représentent un marché à part entière dans l’industrie du cinéma actuelle.

 


 
 
posté le 30-04-2009 à 08:36:46

les photos

La photographie est l’art de créer au moyen d’un appareil photographique des images dotées d’un impact émotionnel ou esthétique.

CE QUI FAIT D’UNE PHOTOGRAPHIE UNE ŒUVRE D’ART

Comme tout artiste, le photographe définit d’abord son sujet, qu’il traite ensuite à l’aide d’une grande variété de procédés. Après le choix de l’appareil photographique, de nombreux éléments, comme la qualité de la lumière, entrent en jeu. Le cadrage, ou la manière de délimiter les contours de la scène photographiée, fait aussi partie de la démarche artistique. Des paramètres techniques tels que la sensibilité de la pellicule employée, la vitesse du déclenchement de la prise de vue et la précision des objectifs façonnent les caractéristiques de l’image.

Une fois la photographie prise, le développement permet à nouveau de multiples interventions sur le résultat. Enfin, les dimensions données au tirage sur papier (ou parfois sur un autre support) achèvent de définir la particularité de l’œuvre.

LA PHOTOGRAPHIE DANS L’HISTOIRE

La photographie est née au début du xixe siècle. Parmi les plus importants courants stylistiques des débuts de son histoire, on peut citer le mouvement pictorialiste qui produit des œuvres très influencées par la peinture (notamment par les œuvres des impressionnistes) et le groupe Photo-Sécession, qui joue un rôle important pour imposer la photographie comme un art à part entière. L’histoire de la photographie fait ensuite écho aux grands courants artistiques modernes comme le surréalisme, la Nouvelle Objectivité ou l’Abstraction (les œuvres de Man Ray, d’Edward Weston).

Le support photographique permet de créer des œuvres d’une grande valeur documentaire (photographies de Paris réalisées par Eugène Atget, clichés de Walker Evans sur la crise de 1929 aux États-Unis). Le xxe siècle est marqué par l’importance des magazines dans le développement des photographies de reportage (Robert Capa, Henri Cartier-Bresson), mais aussi de la photographie

Microsoft ® Encarta ® 2009. © 1993-2008 Microsoft Corporation. Tous droits réservés.<!--EndFragment-->

 


 
 
posté le 30-04-2009 à 08:30:16

les sports

Le sport est une activité physique pratiquée seul ou en équipe. Cette activité possède des règles et peut donner lieu à des compétitions.

Le sport a beaucoup évolué jusqu’à aujourd’hui et représente un élément essentiel de la culture, partout dans le monde.

QU’EST-CE QUE FAIRE DU SPORT ?

Le sport est une activité physique ; c’est pourquoi le billard ou les échecs ne sont pas des sports, même s’ils se situent « à la limite » du sport.

De plus, pour être sportive, une activité, même physique, doit être pratiquée plus ou moins régulièrement. Donc, une randonnée d’une heure dans la montagne de temps en temps est une activité physique, mais trop occasionnelle pour être considérée comme du sport.

Le sport est un loisir et un plaisir ; courir pour s’enfuir, c’est une nécessité, pas du sport, tout comme en d’autres temps manier l’épée pour se défendre.

Mais faire du sport, c’est aussi aller au-delà du jeu et de l’amusement en se mesurant, d’abord à soi-même (« suis-je capable de sauter une barre fixée à 2 m de haut ? ») et ensuite aux autres (« suis-je capable de courir plus vite que mon adversaire ? »). C’est aussi chercher à progresser, grâce au travail et à l’effort.

Enfin, pratiquer un sport, c’est respecter les règles de ce sport.

QUE REPRÉSENTE LE SPORT ?

Il y a différentes façons de faire du sport. Par exemple, il est difficile de comparer une classe de 6e apprenant le football à l’école et un club professionnel de Ligue 1. Tous font du football, mais il ne s’agit pas du même football, et donc pas de la même pratique sportive.

Pourtant, qu’il soit éducatif, de loisir ou de compétition, amateur ou professionnel, le sport est universel et s’adresse à tous : hommes, femmes, enfants, débutants ou champions. De plus, le sport véhicule des valeurs qui rassemblent, au-delà les frontières et des différences : épanouissement personnel, dépassement de soi, intégration, citoyenneté, sens du jeu, esprit d’équipe, solidarité, etc.

UNE MULTITUDE DE SPORTS

Les sports peuvent être individuels ou collectifs et pratiqués en salle ou en plein air. Il existe plus de 50 sports, chacun pouvant être constitué de plusieurs disciplines : par exemple, les anneaux, la poutre et la barre fixe sont des disciplines de la gymnastique.

On dénombre traditionnellement six catégories principales de sports :

– les sports athlétiques ou gymniques : athlétisme, gymnastique, natation ou cyclisme ;

– les sports de combat, de défense ou d’opposition : boxe, lutte, escrime, arts martiaux (judo, karaté, kendo, taekwondo, etc.) ;

– les sports de ballon, de balle et de boule : football, football américain, rugby, basket-ball, handball, volley-ball, tennis, base-ball, hockey sur gazon, tennis de table, golf, bowling, mais également badminton (même si ce sport se joue avec un volant et non une balle) ;

– les sports mécaniques : formule 1, rallyes, motocross, trial, motonautisme, etc ;

– les sports de glisse : ski, snowboard (ou surf des neiges), bobsleigh, luge, patinage artistique et de vitesse, etc ;

– les sports nautiques : voile, ski nautique, surf, aviron, canoë-kayak, etc.

À ces catégories principales s’ajoutent :

– les sports équestres : course, dressage, saut d’obstacle ;

– le tir : tir à la carabine, tir à l’arc, tir au pistolet ;

– les sports de montagne : escalade et alpinisme ;

– les sports aériens : voltige aérienne (avec un avion), parachutisme, parapente, deltaplane, etc.

Il faut également noter que certains sports cumulent plusieurs catégories : c’est le cas du biathlon (ski de fond et tir à la carabine) ou du triathlon (natation, cyclisme et course à pied).

L’HISTOIRE DU SPORT

Aux origines du sport

Le sport est sans doute presque aussi ancien que l’homme. Il apparaît dès que le loisir et le jeu deviennent possibles. Ainsi, lorsque l’homme préhistorique a assuré sa nourriture et sa protection, il prend plaisir à rivaliser à la course, à la lutte ou au lancer avec ceux de son clan.

Les premiers sports sont ceux qui reproduisent les gestes de la vie quotidienne : courir aussi vite que possible, nager, sauter haut et loin, lancer une pierre ou un javelot, lutter, boxer, etc. Toutes les civilisations, sur tous les continents, gardent le souvenir très ancien de ces jeux sportifs primitifs ; en Europe par exemple, les premières traces de pratiques sportives datent de plus de 4 000 ans.

Plus de 1 000 ans de jeux antiques

En 776 avant J.-C, la peste ravage le Péloponnèse (une région du sud de la Grèce), faisant de nombreux morts. Alors, pour s’assurer l’aide des dieux, le roi décide d’organiser une importante fête religieuse : les jeux Olympiques de l’Antiquité sont nés.

À partir de cette date, les jeux Olympiques ont lieu tous les quatre ans à Olympie. Ils rassemblent toutes les cités grecques et sont l’occasion d’une trêve sacrée pendant laquelle personne n’a le droit de faire la guerre. Pour plaire à Zeus (le maître de tous les dieux), les Grecs organisent des offrandes ainsi que des jeux sportifs.

Progressivement, les épreuves sportives se multiplient : course, puis lutte, saut en longueur, lancer du javelot et du disque, boxe, course de char, etc. Les jeux deviennent de plus en plus importants dans la vie des Grecs. Malgré les guerres et les invasions, ils continuent jusqu’à la fin du ive siècle après J.-C.

La naissance du sport moderne en Occident

Au Moyen Âge, le sport (en France, on parle de « desporter ») sert d’abord à s’entraîner pour le combat. Il est pratiqué par les nobles ou les chevaliers dans des tournois ou des joutes. La lutte, la course, le saut, l’escrime et l’équitation sont l’occasion de s’affronter presque quotidiennement, mais également de se divertir. Les hommes jouent également à des jeux tels que la soûle (un jeu plutôt brutal dont l’objectif est de porter une sorte de ballon dans le camp de l’adversaire) ou la paume (un jeu de balle).

Pendant la Renaissance, le sport antique redevient la référence. L’activité physique est valorisée comme étant indispensable à la formation de la jeunesse.

Toutefois, en France, du xviie  au xixe siècle, le sport n’est plus considéré comme une activité « noble » : il tombe dans l’oubli et disparaît de l’enseignement. En Angleterre, c’est l’inverse : les vastes pelouses des écoles britanniques servent de laboratoire à la création du sport moderne (athlétisme, aviron, natation, football, rugby, tennis, water-polo) et de ses compétitions.

L’olympisme moderne

Le sport est-il un divertissement, une méthode d’entraînement des soldats ou une discipline éducative pour la jeunesse ? À la fin du xixe siècle, le pédagogue français Pierre de Coubertin veut aller plus loin et redonner au sport ses lettres de noblesse. Il réinvente les jeux Olympiques et insiste sur l’esprit de l’olympisme : la compétition est ouverte à tous, se déroule dans une saine rivalité et apporte les honneurs aux vainqueurs.

Les premiers jeux Olympiques d’été de l’ère moderne ont lieu à Athènes (Grèce) en 1896. Depuis, le sport s’est beaucoup développé dans le monde : les différents sports se sont organisés, attirant toujours plus d’amateurs. Aujourd’hui, plus d’un Français sur quatre fait du sport régulièrement.

Le sport est-il en danger ?

À la fin du xxe siècle, certains sportifs sont devenus très célèbres et ont le statut de véritables « stars », comme Michael Jordan, Michael Schumacher, Tiger Woods ou Zinedine Zidane. Ils sont les vedettes d’un sport qui s’apparente parfois à un spectacle, qui n’est pas contrôlé par les sportifs eux-mêmes mais par de grandes entreprises liées au sport (comme les grands clubs de football ou les médias). Ces sociétés sont prêtes à dépenser des sommes d’argent colossales pour « acheter » un joueur de talent ou diffuser une compétition à la télévision.

L’un des dangers du sport moderne, c’est donc que l’argent devienne la priorité du système. Toutes les dérives sont alors possibles, comme la violence et le dopage, qui mettent en danger la santé des athlètes ainsi que l’esprit du sport.

 

.<!--EndFragment-->

 


 
 
posté le 30-04-2009 à 08:27:27

la musique

La musique est l’art de combiner agréablement des sons entre eux. La musique se distingue donc du bruit, qui est un son désagréable, parfois douloureux à l’oreille.

La différence entre « son » et « bruit » n’a pas toujours été la même en fonction des pays et des époques. Chaque culture a ainsi développé sa propre manière de percevoir les sons et donc de concevoir la musique.

LA MUSIQUE EST UN ART RICHE EN ÉMOTIONS

La musique est un art qui provoque chez celui ou celle qui la pratique des sentiments et des impressions très riches. Quand on écoute de la musique, on imagine parfois des couleurs et des formes, des images et mêmes des histoires. La musique est considérée comme un art abstrait car elle ne peut ni se toucher ni se voir ; elle n’utilise aucune matière concrète, contrairement à la sculpture par exemple.

La musique est souvent associée à d’autres arts, comme la danse et le chant.

COMMENT DÉFINIR UN SON MUSICAL ?

Pour définir un son en musique, il existe plusieurs critères :

– sa durée dans le temps ;

– sa hauteur : plus elle est élevée, plus le son est aigu, plus elle est basse, plus le son est grave ;

– son intensité : plus elle est grande, plus le son est fort, et inversement ;

– son timbre : c’est la sonorité propre à chaque voix ou à chaque instrument, ce qui permet par exemple à l’oreille de faire la différence entre le son d’une flûte et celui d’un piano ;

– une autre caractéristique très importante de la musique est le rythme, ou le tempo.

LA MUSIQUE EST UNE SCIENCE ET UN LANGAGE

Art minutieux et précis, la musique est aussi une science, où les règles jouent un grand rôle. Même si elles ont varié suivant les époques et les hommes, il y en a toujours eu. On appelle musicologie la science de la musique. L’ensemble des règles que tout musicien doit apprendre pour lire et jouer de la musique constitue le solfège, enseigné dans les conservatoires.

La musique possède un langage : ce sont les notes écrites sur une partition ; on parle de notation musicale. La note est un signe qui représente un son et dont la forme varie en fonction de sa durée. En français les notes portent des noms issus du latin, tandis que la tradition britannique leur attribue des lettres :

<thead></thead><tfoot></tfoot>
les notes
DoMiFaSolLaSi
CDEFGAB
 

LES PERSONNAGES DU MONDE DE LA MUSIQUE

Le compositeur est un artiste qui écrit des morceaux de musique destinés à être joués. Le chef d’orchestre dirige un orchestre en lisant une partition ; son rôle est de coordonner les différents instruments. L’orchestre est composé de musiciens (également appelés des instrumentistes). Celui qui aime et apprécie la musique est appelé mélomane.

LA MUSIQUE EST AUSSI UNE INDUSTRIE

La musique est un art, mais aussi une industrie qui génère beaucoup d’argent. Elle est aujourd’hui enregistrée dans des studios très sophistiqués sous la direction d’un producteur. Son rôle consiste notamment à mettre en valeur le talent des musiciens et à les aider à trouver leur propre son.

Une fois enregistrée, la musique est diffusée commercialement sous forme de disques vinyles, de cassettes, de mini-discs ou de CD. La musique est également diffusée par les radios et grâce à la télévision, qui montre des vidéo-clips et des concerts enregistrés. Depuis la fin des années 1990, l’Internet est également devenu un important moyen de diffusion de la musique.

La musique peut donc s’écouter et se pratiquer chez soi, mais elle prend toute son ampleur lorsqu’elle est jouée en public et en direct, sur une scène lors d’un concert. Elle parvient alors à l’auditeur de façon plus « brute », c’est-à-dire débarrassée des « artifices » de la production discographique.


.<!--EndFragment-->

 


 
 
 

Ajouter un commentaire

Pseudo : Réserve ton pseudo ici
Email :
Site :
Commentaire :

Smileys

 
 
 
Rappel article